Contrats de Syndic : plus de 70 % des documents en infraction

Alors que le Salon de la copropriété et de l’habitat 2025 a eu lieu dans un climat déjà tendu, une étude récente de l’association Consommation Logement et Cadre de Vie (CLCV) révèle que près de 70 % des contrats de syndic en France sont en infraction.
Clauses abusives, frais indus, opacité des pratiques… l’enquête met en lumière des anomalies récurrentes, parfois lourdes de conséquences pour les copropriétaires.

Ces dérives, qui fragilisent la confiance dans un secteur pourtant strictement encadré, soulèvent de sérieuses inquiétudes : quels risques pour les copropriétaires ? Quelles pratiques abusives faut-il connaître et comment mieux s’en protéger ?

Une réglementation claire… mais souvent contournée

Depuis la loi ALUR de 2014 et le décret du 26 mars 2015, le contrat de syndic doit suivre un modèle type obligatoire.
Toutes les prestations de gestion courante doivent être incluses dans un forfait annuel, voté en assemblée générale. Seules certaines prestations exceptionnelles, définies par la loi, peuvent faire l’objet d’une facturation complémentaire.

Pourtant, sur les 195 contrats analysés à travers la France, la CLCV constate que seulement 29 % sont conformes, et 35 % présentent des violations graves au détriment des copropriétaires.

Des pratiques abusives encore fréquentes

Parmi les irrégularités relevées, plusieurs types de dérives reviennent régulièrement :

  • Prestations inventées : ajout de frais administratifs, frais de gestion de comptes créditeurs, ou encore frais de remise de clés facturés 24 € TTC par copropriétaire.
  • Clauses illégales : certains syndics conservent les indemnités d’assurance en cas de sinistre, alors qu’elles reviennent à la copropriété.
  • Suppressions d’informations obligatoires : comme le nombre de visites incluses dans le forfait annuel, obligeant à payer chaque déplacement.
  • Pénalités réduites : fixation arbitraire de montants inférieurs à ceux prévus par la loi (1 € par jour au lieu de 15 € en cas de retard de transmission d’informations).

Ces pratiques créent un déséquilibre clair entre syndics et copropriétaires, souvent au détriment de la transparence et de la confiance. Elles rappellent combien il est essentiel pour chaque conseil syndical de garder un œil attentif sur les contrats signés, car la vigilance reste le premier rempart contre les abus.

Des frais de vente souvent illégaux

Autre point noir : la facturation de l’état daté, document indispensable lors de la vente d’un lot de copropriété.
Alors que le plafond légal est fixé à 380 € TTC, certains syndics ajoutent des “pré-états datés” ou des “réactualisations” pour contourner la limite et gonfler artificiellement la facture.

Ces excès traduisent un manque d’outils de contrôle et de sanctions, laissant aux copropriétaires peu de moyens d’action face à des contrats complexes et souvent réécrits à l’avantage du syndic.

Comment les copropriétaires peuvent se protéger

Face aux dérives de certains syndics, les copropriétaires disposent de véritables leviers. Avec un minimum de vigilance et les bons réflexes, il est possible de limiter les abus et de sécuriser la gestion de l’immeuble.

Quelques bonnes pratiques à adopter :

  • Relire attentivement le contrat type avant chaque renouvellement,
  • Comparer les offres de plusieurs syndics,
  • Contester les clauses illégales ou les prestations non conformes,
  • Vérifier les factures de travaux, d’assurance et d’état daté, en exigeant systématiquement des justificatifs détaillés.

Ma Négo : votre partenaire pour une copropriété bien gérée

La prévention des dérives en copropriété passe avant tout par une gestion claire et rigoureuse. Pour les conseils syndicaux, cela signifie suivre de près les dépenses, les contrats et les projets de travaux, afin de garder la maîtrise des décisions qui engagent la copropriété.

Chez Ma Négo, nous soutenons au quotidien les copropriétaires bénévoles dans cette mission essentielle. Notre rôle : apporter de la transparence, sécuriser vos choix et garantir l’équité des pratiques.
Grâce à nos audits gratuits de contrats de maintenance et de devis de travaux, nous identifions les éventuelles irrégularités, clarifions les zones d’ombre et mettons en lumière les leviers d’économies possibles.

Notre objectif est simple : vous donner toutes les clés pour décider en toute confiance, sans surcoûts inutiles ni mauvaises surprises.

 

Les Arnaques en Copropriété : Comment les identifier et s’en protéger ?.

Les Arnaques en Copropriété : Comment les identifier et s’en protéger ?.

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a mené une vaste enquête auprès des syndics de copropriété en 2021 et 2022. Sur les 457 établissements contrôlés, 313 présentaient des anomalies, révélant des pratiques préoccupantes dans le secteur.

Les arnaques autour du pouvoir d'achat - Arnaques et fraudes types - Les  clés de la banque - Particulier

Une situation toujours inquiétante malgré une légère amélioration

Malgré une légère amélioration, le taux d’infractions restait élevé, atteignant 65,4 % en 2022. Voici un tour d’horizon des principales infractions que nous avons pu constater :

1. Facturations abusives ou erreurs : un problème récurrent

Facturation additionnelle indue ou prestations incluses dans le forfait
Certains prestataires facturent des frais supplémentaires pour des services déjà inclus dans le contrat, comme les déplacements, la gestion des dossiers ou certaines interventions spécifiques.

Erreurs de TVA
De nombreuses erreurs concernant les taux de TVA (20 %, 10 %, 5,5 %) subsistent, souvent dues à l’absence d’attestation de TVA envoyée par le syndic ou demandée par le prestataire. Ces erreurs, relevant souvent de formalités administratives négligées, impactent directement les copropriétaires.

Surfacturation des prestations complémentaires et travaux d’urgence
Les travaux d’urgence, souvent réalisés par des prestataires sous contrat de maintenance avec le syndic, sont parfois surfacturés. Lorsqu’ils ne nécessitent pas de vote en assemblée générale, ces travaux peuvent constituer un véritable « chèque en blanc » signé au détriment des copropriétaires.

2. Modifications tarifaires annuelles non justifiées

Les clauses d’indexation des prix permettent de réajuster automatiquement certains tarifs (comme les charges de copropriété ou les loyers) en fonction d’un indice économique, tel que l’indice des prix à la consommation ou celui du coût de la construction.

Si ces mécanismes sont légaux, ils peuvent devenir abusifs lorsqu’ils :

  • S’appuient sur un indice inadapté ou non justifié.
  • Entraînent des augmentations disproportionnées des tarifs.
  • Incorporent des critères d’indexation non conformes à la réglementation.

Nous avons notamment observé fréquemment

  • L’utilisation d’indices économiques opaques ou favorisant des hausses excessives.
  • Le cumul de plusieurs critères d’indexation, amplifiant artificiellement l’augmentation.
  • L’application rétroactive d’indexations qui n’étaient pas initialement prévues dans le contrat.

Bien que les clauses d’indexation soient légales, elles peuvent être considérées comme abusives lorsqu’elles accordent un avantage démesuré à l’une des parties, notamment en l’absence de réciprocité ou de transparence.

3. Transparence et information : des progrès nécessaires

Les copropriétés souffrent encore de nombreuses lacunes en matière de communication et de transparence, tant de la part des syndics que des prestataires. Ces défaillances significatives impactent la gestion collective et la confiance des copropriétaires.

Erreurs fréquentes sur les relevés de consommation d’eau : Ces erreurs, souvent répétées, entraînent des incompréhensions et des mécontentements parmi les copropriétaires.

Lacunes sur les plateformes numériques : Les intranets, censés faciliter l’accès à l’information, sont souvent obsolètes ou incomplets. Les documents importants, comme l’historique des interventions ou des dépenses, ne sont pas systématiquement mis à jour.

Démarches administratives dépassées : Certains syndics continuent de demander des factures papier qu’ils n’intègrent pas correctement dans leurs systèmes numériques. Cette gestion archaïque donne l’impression d’un retour à des méthodes désuètes, comme l’utilisation du fax.

4. Fausses initiatives écologiques et contrôle par la peur

Avec l’entrée en vigueur de la loi Climat Résilience et la montée en puissance des démarches écoresponsables, de nombreuses entreprises proposent des solutions “vertes” aux copropriétés. Parmi celles-ci : le diagnostic technique global (DTG), le projet de plan pluriannuel de travaux (PPPT), le ravalement de façade pour améliorer la performance énergétique ou encore l’installation de bornes de recharge pour véhicules électriques.

Cependant, sous prétexte de bénéficier de subventions étatiques comme MaPrimeRénov’Copro, certaines entreprises présentent ces solutions de manière biaisée, sans clarifier leur caractère obligatoire ou optionnel, ni expliquer les implications financières réelles pour les copropriétaires en comparaison aux gains attendus.

Les conseils syndicaux doivent être vigilants, car de nombreuses prestations sont vendues à des prix excessifs ou ne tiennent pas leurs promesses en termes de bénéfices écologiques ou économiques. Sans compter la fraude au DTG, mentionnée dans notre dernier article, qui a déjà causé des pertes estimées à plus de 21 milliards d’euros, un exemple frappant des dérives potentielles.

5. Les problèmes inhérents des conflits d’intérêts en copropriété

Ils peuvent  limiter  la concurrence nuisant aux intérêts des copropriétaires, que ce soit au niveau des syndics ou, dans certains cas, des conseils syndicaux, des intérêts personnels peuvent influencer les décisions professionnelles, souvent au détriment de la copropriété.

Liens financiers ou contractuels :

Des accords commerciaux, partenariats ou arrangements entre syndics et promoteurs immobiliers ou entreprises de travaux peuvent biaiser les décisions qui devraient être prises dans l’intérêt des copropriétaires.

Manque de transparence dans les appels d’offres :

Des ententes avec des prestataires de services (nettoyage, maintenance, etc.) entraînent des choix favorisant des acteurs spécifiques, au détriment de la qualité ou du prix.

  • Conséquences pour les copropriétaires

Hausse des coûts : Les copropriétaires paient souvent plus cher pour des travaux ou des services dont le coût est artificiellement gonflé.

Manque de concurrence & absence de neutralité : Les prestataires sont sélectionnés non pour leur compétitivité, mais pour leurs liens avec le syndic ou le conseil syndical.

Qualité des services dégradée : Les prestataires choisis peuvent offrir des prestations de moindre qualité, car leur sélection n’est pas basée sur leur expertise ou leur réputation.

Résultats alarmants

Les données recueillies sont révélatrices : les charges de copropriété ont augmenté de 37,4 %, soit trois fois plus vite que l’inflation, d’après l’Observatoire de l’Association des responsables de copropriété. Cette étude, qui a analysé les dépenses de 2 500 immeubles à travers la France, révèle des hausses significatives :

  • Primes d’assurance : entre +9 % et +12 %
  • Frais de gestion facturés par les syndics : +52,5 % 
  • Factures de chauffage : +39,9 % 
  • Coûts de gardiennage : +32,7 % 
  • Dépenses d’entretien : +27,7 %

Comment prévenir les arnaques ?

Pour prévenir les arnaques en copropriété, il est essentiel que les copropriétaires s’impliquent activement dans la gestion collective, en surveillant les dépenses et les projets avec vigilance. Exiger une transparence totale sur les factures et les interventions permet de limiter les risques de malversations.

Ma Négo joue un  rôle essentiel dans cette protection économique des copropriétaires en France en accompagnant les conseils syndicaux dans leur implication bénévoles pour leur copropriété.

Nous visons à assurer la transparence et l’équité des pratiques en copropriété au travers d’audits gratuit de vos contrats ou devis travaux de manière à  sécuriser les décisions du conseil syndical et détecter d’éventuelles irrégularités. 

Pour obtenir des informations supplémentaires, n’hésitez pas à visiter notre site www.ma-nego.fr ou prendre contact avec nos services au 01 42 71 16 72.

Abus en copropriété : ce que cache parfois un simple devis

Abus en copropriété : ce que cache parfois un simple devis

Quand la copropriété devient une cible

Factures multipliées par trois, prestations imposées sans validation, décisions prises en petit comité… Ces dérives ne sont plus des exceptions. Dans de nombreuses copropriétés, des abus parfaitement orchestrés se glissent dans le quotidien des copropriétaires, souvent sous couvert de devis techniques ou de diagnostics obligatoires.

Ce sont parfois de simples lignes de dépenses votées trop rapidement, qui deviennent ensuite des charges insupportables et injustifiées. Pire encore, tout semble « légal », jusqu’à ce que la facture finale révèle un tout autre visage.

Et si votre propre copropriété avait déjà payé pour une prestation dont le coût réel n’avait rien à voir avec ce qui avait été voté ?

Le cas que nous vous révélons dans cet article en est l’illustration parfaite. 

Devis flous, coûts explosifs : une mécanique bien rôdée

Chaque année, des milliers de copropriétaires votent en assemblée générale des travaux de maintenance, de rénovation ou de diagnostic. Ils se fient à un devis présenté rapidement, validé à la majorité, souvent sans mise en concurrence. Mais derrière certains devis se cache une pratique bien plus sournoise : l’imprécision volontaire.

Un montant est annoncé, souvent raisonnable. Mais aucune précision n’est apportée sur les éléments variables : nombre d’interventions, quantités, dépassements potentiels. Et lorsque l’intervention démarre, tout s’emballe. Le nombre d’échantillons augmente, le périmètre de mission s’élargit, et la facture finale triple. Sans validation écrite, sans alerte préalable. Juste une facture à payer.

L’exemple concret d’un repérage amiante qui dérape

Dans le cas que nous détaillons plus loin dans cet article (accessible après remplissage du formulaire), une copropriété avait validé un devis à un peu plus de 2 000 € pour un diagnostic amiante. Ni le nombre de prélèvements, ni les conditions de dépassement n’étaient précisés. Résultat ? Près de 93 prélèvements ont été réalisés… et une facture de plus de 6 000 € a été transmise au syndicat des copropriétaires.

Ce genre de dérapage n’est pas seulement choquant : il est illégal. Il viole les principes fondamentaux de bonne foi contractuelle, de transparence budgétaire et d’autorisation préalable. Il démontre à quel point un défaut de vigilance peut coûter cher à l’ensemble des résidents.

Accèdez à l’intégralité de ce dossier sur le site de l’Association des Responsables de Copropriété (l’ARC) en cliquant ici

Des abus banalisés en copropriété

Malheureusement, ce genre de situation est loin d’être unique. Les abus se multiplient dans les copropriétés, souvent dans l’indifférence. Ils prennent différentes formes :

  • Contrats signés sans mise en concurrence,

  • Prestations techniques facturées sans limite claire,

  • Décisions imposées par une majorité sans consultation réelle,

  • Utilisation de fonds pour des projets mal ou non validés.

Ces pratiques fragilisent la confiance entre copropriétaires, creusent les déficits et alimentent les litiges.

Comment s’en prémunir efficacement

La prévention des abus commence dès le vote. Avant d’approuver un devis en assemblée, il faut :

  • Exiger un chiffrage précis : nombre de passages, prélèvements, tarifs unitaires.

  • Insérer une clause de plafonnement : tout dépassement doit faire l’objet d’un accord écrit.

  • Demander une validation intermédiaire si le montant final peut varier.

Le conseil syndical joue un rôle crucial dans cette surveillance. Mais en dernier recours, chaque copropriétaire a le droit de demander des comptes, voire de contester une dépense s’il existe un écart manifeste entre le devis voté et la facture présentée.

Faites appel à Ma Négo pour prévenir les abus et protéger les intérêts de votre copropriété

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Ma Prime Rénov’ suspendue : des fraudes massives à l’origine du blocage en 2025

Ma Prime Rénov’ suspendue : des fraudes massives à l’origine du blocage en 2025

Suspension de MaPrimeRénov’ : un dispositif à bout de souffle

Le gouvernement a officiellement annoncé la suspension de MaPrimeRénov’ à compter du 1er juillet 2025. Ce dispositif, devenu central pour financer la rénovation énergétique des logements, a été brutalement stoppé en raison d’un épuisement rapide des crédits alloués pour l’année. 

Selon Eric Lombard, ministre de l’Économie, le volume exceptionnel de demande a surchargé l’administration, avec des délais de traitement de plus en plus longs, des retards de versement, et des blocages techniques dans le système informatique de suivi.

Des fraudes massives révélées par les autorités

Mais cette surchauffe n’est pas la seule raison du blocage. Un article du Figaro publié le 3 juin 2025 révèle un niveau alarmant de fraudes autour de MaPrimeRénov’. La Cour des comptes a tiré la sonnette d’alarme, parlant d’un “niveau de fraude élevé et inacceptable”. Des entreprises peu scrupuleuses ont profité des failles du système pour facturer des travaux fictifs ou surfacturés, tandis que certains ménages ont présenté de faux documents pour accéder aux aides.

Les dysfonctionnements sont multiples : usurpation d’identité, sociétés éphémères non certifiées, chantiers jamais réalisés… Ces dérives ont terni l’image du dispositif et mis en péril la confiance des Français dans les aides publiques.

Lire l’article sur Le Figaro 

Quels impacts pour les ménages ?

La suspension de MaPrimeRénov’ à partir du 1er juillet 2025 représente un véritable coup d’arrêt pour des centaines de milliers de foyers qui comptaient sur cette aide pour financer des travaux de rénovation énergétique. Ce dispositif, devenu depuis 2020 l’un des piliers des politiques publiques en matière de transition énergétique, permettait aux particuliers de réduire considérablement le coût de travaux souvent onéreux comme l’isolation thermique, le remplacement des systèmes de chauffage ou l’installation de panneaux solaires.

Pour les ménages, l’impact immédiat est clair : aucune nouvelle demande ne sera acceptée jusqu’à la réactivation du programme prévue fin 2025. Cela signifie que les projets en préparation, même bien avancés, devront être mis en pause, sauf s’ils ont déjà fait l’objet d’une validation administrative complète. Ceux qui comptaient lancer leurs travaux cet été ou cet automne pour bénéficier d’un meilleur confort thermique l’hiver prochain sont donc contraints de revoir leurs plans.

Reprise annoncée fin 2025 : pourquoi se préparer maintenant ?

Le gouvernement prévoit un redémarrage du dispositif d’ici la fin de l’année, mais avec des ajustements : renforcement des contrôles, simplification des procédures, et lutte active contre les fraudes. En attendant, il est crucial pour les particuliers de préparer leurs dossiers en amont, afin d’être prêts dès la réouverture.

Comment Ma Négo peut vous aider concrètement

Rénovation énergétique, ravalement, ascenseur, nettoyage, énergie… Trop souvent, les copropriétés payent plus que nécessaire. Pourtant, une vérification experte et une négociation fine permettent de réduire les coûts de 5 à 65 %, sans changer de prestataire ni modifier le cahier des charges.

Ma Négo, c’est le 1er service indépendant de vérification et de négociation de devis en copropriété. Un modèle 100 % gagnant-gagnant :

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En pratique ? Vous soumettez un devis validé par votre conseil syndical, Ma Négo l’analyse, le négocie avec votre prestataire, puis vous propose une version optimisée. Vous êtes libre d’accepter ou non. Dans 98 % des cas, la copropriété dit oui… et économise des milliers d’euros.

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Syndics de copropriété : une gestion sous tension en France

Depuis plusieurs années, un malaise grandit dans les copropriétés françaises. De nombreux copropriétaires dénoncent des abus de la part de leurs syndics : factures injustifiées, absence de transparence, manque de concertation et conflits d’intérêts avec certains prestataires. Le récent reportage diffusé sur TF1 donne un coup de projecteur sur ces dérives, révélant une réalité bien plus répandue qu’il n’y paraît.

Dans certaines copropriétés, des factures sont envoyées pour des assemblées générales qui n’ont jamais eu lieu. Des montants allant jusqu’à 228 euros sont réclamés, sans que les copropriétaires puissent vérifier la réalité de la prestation. Pire encore, plusieurs documents comportent des numéros de facture identiques pour des immeubles différents, suggérant une facturation systématique et non personnalisée. Ces faits, révélés par les journalistes de TF1, ont provoqué une onde de choc parmi les millions de Français concernés par la gestion de leur immeuble.

Un problème structurel : 65 % des syndics en infraction

Ces cas ne sont pas isolés. Une enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) est venue confirmer l’ampleur du phénomène : 65 % des syndics contrôlés présentent des irrégularités. Ces manquements concernent principalement l’opacité des contrats, le non-respect des obligations légales en matière d’information, et des frais injustifiés prélevés sur les comptes des copropriétés.

Ce chiffre montre que la majorité des syndics ne respecte pas pleinement la réglementation. Dans un contexte où les charges de copropriété représentent une part importante du budget des ménages, ces pratiques abusives ont un impact direct sur le pouvoir d’achat des Français.

Une défiance croissante des copropriétaires

Face à cette situation, la défiance monte. Sur les réseaux sociaux, les témoignages affluent. Des pages comme « Balance ton syndic » donnent la parole aux copropriétaires victimes de dérives ou de négligences. Travaux imposés sans vote, contrats renouvelés sans appel d’offres, prestations surfacturées : les récits abondent et dressent le portrait d’un secteur en crise.

Alors que la loi ALUR avait pour objectif d’améliorer la transparence et de renforcer les droits des copropriétaires, la réalité montre que ces objectifs sont encore loin d’être atteints. De nombreuses copropriétés peinent à contrôler les actions de leur syndic et à faire respecter les obligations légales.

Ma Négo : une réponse concrète et indépendante

Face à ce constat, des solutions émergent. Parmi elles, Ma Négo, une société spécialisée dans la réduction des charges de copropriété. Son rôle ? Accompagner les copropriétaires et conseils syndicaux dans l’audit des dépenses et la renégociation des contrats.

Ma Négo propose :

  • Un audit gratuit des charges

  • Une analyse détaillée poste par poste

  • La négociation des vos contrats avec vos fournisseurs (entretien, assurance, maintenance…)

  • Des recommandations indépendantes et chiffrées

Certaines copropriétés parviennent ainsi à réduire leurs charges jusqu’à 60 % sans compromettre la qualité des prestations. Contrairement à d’autres acteurs du marché, Ma Négo se rémunère uniquement un pourcentage de l’économies réalisées, garantissant une totale transparence.

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Vous lire l’article de TF1 Info ? Cliquez ici 

Sur la Côte d’Azur, les copropriétés face aux conflits syndics-BTP.

Sur la Côte d’Azur, les copropriétés face aux conflits syndics-BTP.

Une enquête judiciaire dévoile des conflits d’intérêts impactants les copropriétés. Elle vise à faire la lumière sur d’éventuels arrangements douteux entre des syndics de copropriété et professionnels du BTP sur la Côte d’Azur.

Derrière ces soupçons, un système bien rodé pourrait se dessiner. Certains syndics favoriseraient des prestataires “amis”, en échange de commissions ou d’avantages. Résultat : les copropriétaires paieraient les conséquences, souvent sans le savoir.

Des conflits d’intérêts syndics x professionnels du BTP

Selon Le Figaro, l’enquête a donné lieu à plusieurs perquisitions dans des cabinets de syndics de la région. Les enquêteurs cherchent à comprendre les liens entre ces professionnels et les entreprises du BTP qu’ils mandatent régulièrement.

Les travaux concernés sont souvent lourds : ravalements de façade, étanchéité, rénovation d’ascenseur, etc. Dans une région où le marché est à la fois dynamique et tendu, ces dérives peuvent coûter très cher.

Ainsi, les copropriétés pourraient subir des pertes se chiffrant en centaines de milliers d’euros. En cause : surfacturations, travaux imposés sans mise en concurrence, ou prestations bâclées… mais facturées au prix fort.

👉 Lire l’article complet sur Le Figaro

Des révélations chiffrées sur la gestion des copropriétés

32 % des copropriétaires ne savent pas comment les entreprises sont sélectionnées par leur syndic (source : UFC-Que Choisir).

Certains chantiers litigieux ont affiché des surcoûts de 20 à 50 %, par rapport aux prix du marché.

Un tiers des syndics contrôlés présente des irrégularités lors de commandes de travaux (rapport DGCCRF).

Ma Négo : transparence, maîtrise et économies pour les copropriétés

Face à ces dérives, il devient crucial pour les conseils syndicaux de reprendre le contrôle des décisions liées aux travaux. C’est là que Ma Négo entre en jeu.

Notre mission est simple : vous accompagner, vous conseiller, et défendre vos intérêts avec rigueur et objectivité.

Ce que Ma Négo fait pour vous

Analyse des devis

Nous comparons les offres reçues de façon objective. Cela permet d’identifier les incohérences, marges abusives ou clauses contractuelles douteuses.

Ainsi, vous prenez vos décisions en toute connaissance de cause.

Accompagnement stratégique

Nos experts aident les conseils syndicaux à poser les bonnes questions, à challenger les choix proposés par le syndic et à négocier plus efficacement.

Par conséquent, le rapport de force est rééquilibré.

Suivi clair et traçable

Chaque étape du processus est justifiée, documentée, et partagée avec l’ensemble des copropriétaires.

De cette façon, vous gardez la main sur votre projet, sans zones d’ombre.

Des économies concrètes

Nous obtenons le bon prix, pour les bonnes prestations, sans compromis sur la qualité.

Autrement dit, nous protégeons vos finances tout en garantissant un travail bien mené.

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